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- Lu (6), le 9 novembre 2014 avant 15 heures 19

Où avait le vie notre héros homme passé sa dernière nuit ? S'était le vie notre héros homme offert le Baur au Lac ? mon ami l'espérait, sans trop y croire. Elle était certain en tout cas qu' notre héros avait réglé sa note en partant, qu' notre héros n'avait rien laissé derrière lui.
- Remarque (100), le 15 juillet 2014 à 17 H 1

Plus que tout ce qu'on avait eu depuis le début, mon ami me semble. Question de Comment est-ce qu'on peut aller plus loin ? il avait dit reprit Laurent.
- Demande réaction sur cette phrase 1, du 9 novembre 2013 vers 4 heures 20

Les techniciens de l'Identité judiciaire s'étaient livrés à la tâche éprouvante consistant à ramasser les lambeaux de chair éparpillés sur la scène de crime, à les regrouper dans des sacs plastique hermétiquement scellés qu'ils avaient expédiés, avec la tête intacte, à Paris. Une fois les examens terminés, l'ensemble ne formait plus qu'un petit tas compact, d'un volume très inférieur à celui d'un cadavre humain ordinaire, et les employés des Pompes funèbres générales avaient cru bon d'employer un cercue notre héros d'enfant, d'une longueur d'un mètre vingt. - Par extrait 1, du 13 novembre 2013 à 4 : 10 Dans la pénombre éclairée de place en place par de grandes lampes à abat-jour, l'appartement le vieux parut immense. Il traversa un des salons, entrouvrit un rideau : l'avenue Foch s'étendait à l'infini, d'une largeur anormale, recouverte d'une légère couche de givre. - le 14 octobre 2013 à 20 : 17 Ils les laissèrent seuls, pendant une dizaine de minutes, dans la chambre. « C'est mieux pour elle.